Dienstag, 17. September 2013

Steinbrück et son cabinet fantôme: Bientôt une ministre de l'Éducation qui défend des marriages forcés?

Steinbrück et son cabinet fantôme: Bientôt une ministre de l'Éducation qui défend des mariages forcés?

Il était plus sympa et souvent plus compétent que la chancelière allemande, Angela Merkel, dans les duels télés.
Mais à cause d'une décision, c’est tout à fait impossible de voter pour Peer Steinbrück.
Pour son cabinet fantôme, Yasemin Karakasoglu est prévue de devenir ministre de l'Éducation.
Elle est d'origine turque et professeure à l'université de Brême. En Allemagne elle a obtenue de la gloire douteuse, quand elle a rédigée une lettre ouverte attaquant massivement des féministe comme Necla Kelek, Ayaan Hirsi Ali ou Seyran Ates souscrite par une soixantaine des ses étudiantes, qui sont nommée des scientifiques dans ce courrier.
Selon le journaliste Thierry Chervel cette lettre compte parmi les documents les plus odieux dans l’histoire intellectuelle de la République Fédérale de l’Allemagne.
De surcroit Necla Kelek constate dans son article paru dans le « FOCUS » une des magazines leaders traitant des faits d’actualité en Allemagne, que Karakasoglu défend les mariages forcés dans la communauté Gérmano-Turque et s’orient fortement vers des lobbyistes turcs depuis longtemps.
Vu au fait que Brême est bien connu d’être un centre des nationalistes turcs et de la secte du Fetullah Gülen qui diffuse une doctrine raciste-turque et ultra-islamiste, elle semble d’avoir raison.
Quand Kelek parle des lobbyistes, il me parait donc évident, qu’il s’agit entre autre de l’organisation UETD (Union of European Turkish Democrats). L’organisation et sa porte voix, le « Deutsch-Türkisches Journal », abrév. DTJ) pratiquent une propagande agressive niant le génocide commit par l’Empire Ottoman contre les Arméniens, Araméens, Gréco-Turcs et Alévis, stigmatisant les Kurdes d’être « terroristes » et appelant chaque Allemand, Italo-Allemand, etc. critiquant la politique ou l’histoire de l’état turc « raciste ».
Apparemment la nomination des gens comme Karakasoglu a système dans la parti social-démocrate de l’Allemagne. Déjà l’ancien président de la dite « Stiftung für Türkeistudien und Integrationsforschung » (Fondation d'études sur la Turquie), Faruk Sen, est membre de la parti.
Avant qu’il avait dû laisser sa place pour des déclarations antisémites, il s’est fait remarqué par la négationnisme et des déclarations racistes contre les minorités ethniques et religieuses de la Turquie.
Donc, quo vadis l’Allemagne ?
Une chancelière exploitant le Sud de l’Europe ou un chancelier comptant sur l’aide des radicaux turcs exportant des idées racistes et misogynes et qui abusent sa parti pour la propagation d’une idéologie dédaigneuse ?
Les Allemands peuvent choisir entre peste et choléra.

Sources :
- http://www.focus.de/politik/deutschland/bundestagswahl-2013/politik-sozialdemokratischer-kniefall_aid_1016188.html
- http://www.emma.de/hefte/ausgaben-2006/maerzapril-2006/offene-antwort/